✦ Sujet : It's new life for me and i'm feeling good ~Týr Publié : Sam 31 Mar - 16:50
nom : Sörensson... un nom de famille d'une autre époque, d'une autre personne dont je ne n'ai plus le souvenir d'avoir été prénom : Gabriel... le vrai prénom, celui d'un ange, celui d'un autre gars, celui que je ne suis plus, un prénom que plus personne n'utilise à part peut être lui... surnom(s) : Týr, le seul prénom auquel je réponde. Les gamins qui m'ont trouvé m'ont affublé de ce surnom et il est resté faute de trouver autre mieux. Le prénom d'un dieu de la mythologie nordique, le dieu des serments et du droit. Allez savoir pourquoi ces gamins m'ont appelé ainsi. âge : 26ans à ce qu'il parait nationalité : Islandais origines : Origines depuis longtemps tombées dans l'oubli, nordique à en croire mes cheveux et mon teint, islandaises donc serait le plus normal sexualité : En cours d'exploration, je n'ai pas vraiment de souvenir d'avoir été attiré plus par l'un ou l'autre des sexes alors je teste en attendant de me décider sur ce qui me plait le plus statut : Célibataire, je n'ai pas encore d'amoureuse délaissée qui soit venue réclamer mon corps groupe : Magican hat rang : I'm who i'm profession : Pianiste et chanteur ancienneté : Depuis quelques mois, quand je me suis échoué sur une plage non loin du cirque particularité : Amnésique ça compte non? Ma mémoire n'est plus qu'un immense trou noir que je n'arrive pas à combler. Je n'ai qu'un petit tatouage, une ancre sur le côté de mon majeur de la main gauche pour me faire me poser encore plus de questions.
Týr Sörensson
Yeah freedom is mine
personnalité ▼
J'ai toujours eu l'impression qu'il y avait deux personnes qui se battaient en moi ou plutôt une personne dont je voulais donner l'image et le vrai moi. Il y avait cet autre que mon père voulait que je sois, le digne fils dont il avait toujours rêvé. L'homme intelligent qui faisait preuve de traits d'esprits, légèrement voir beaucoup sarcastique j'avoue. Celui qui pouvait converser avec le bon monde, faisait preuve d'une classe à toute épreuve en toute occasion. Le mec propre sur lui, ambitieux et charismatique qui pouvait faire fondre les femmes d'un léger sourire. C'était lui qu'il voulait que je sois, lui que je faisais semblant d'être quand je travaille ou que je sors avec mon père. Et puis il y a l'autre, le vrai moi. Ce mec est un peu fou, toujours la tête dans les étoiles à rêver, à monter des plans farfelus, à s'imaginer sa vie en grand. Celui là voulait devenir artiste, passer sa vie derrière un piano à chanter. Il voulait vivre en toute insouciance sans penser au lendemain. Mais il y avait l'autre qui était plus raisonnable. Au final il y a un peu des deux en moi. Pas complètement le type que je suis en façade mais il n'est pas seulement une façade.
Et maintenant? Maintenant je crois que je ne me pose plus trop la question. J'ai essayé de me la poser mais je n'ai récolté qu'un mal de tête. Je suis moi... peut être vraiment moi depuis la première fois de ma vie. Celui que je tentais de cacher a clairement pris la place du dominant dans l'histoire. Je me laisse porter par mes envies du moment, vivant ma vie au jour le jour sans me préoccupe de ce que l'on peut penser ou croire de moi. De toute façon, je ne sais pas moi même qui je suis alors comment pourrais je prétendre être un autre?
noah's & you ▼
Les lumières s'allument, m'illuminant d'abord dans le coin de la scène où je me trouve. Je commence à jouer, entièrement concentré sur mon instrument. Je sens le public les réactions même si je ne les vois pas. Ils sont partagés. Une part d'eux aime ce qu'ils entendent mais l'autre se demande ce qu'il va se passer. Puis la lumière s'allume plus loin, éclairant l'artiste que j'accompagne. Mes notes changent et ma voix se mêle à la mélodie. Je ne détache pas mon regard de l'artiste, nos arts se mélangeant sur cette scène pour le ravissement du public. Puis l'artiste, termine, prenant sa pose finale. Ma musique suit comme toujours son show, ralentissant pour petit à petit s'éteindre en même temps que les lumières. Et c'est les applaudissements qui retentissent faisant oublier les douces notes que j'ai joué. Ils sont pour l'artiste surtout, un peu pour moi mais je ne m'en vexe pas. J'ai ma part et ça suffit pour me faire sourire.
Je reste ainsi dans un coin pendant toute la durée du Big Show. Parfois j'accompagne un artiste, à d'autres je reste simplement dans l'ombre à attendre mon tour. Puis c'est à moi à nouveau. L'ariste suivant a besoin de temps pour se mettre en place dans le noir. Alors je joue. Mes doigts courent sur le piano et comme à chaque fois que je joue ce morceau je ressens la même émotion venu de je ne sais où. Cette fois quand je me lève pour saluer les applaudissements sont uniquement pour moi et je savoure cet instant.
Mais après le big show la soirée est loin d'être terminé pour moi. Il arrive que j'accompagne aussi les artistes du freak show. Partout où il y a un numéro sur musique et où l'artiste fait appel à moi, j'y vais. Artiste mais sans vraiment de show à moi. Dans l'ombre mais brillant quand même par mon talent.
histoire ▼
Les vagues viennent lécher mon visage. C’est ce qui me réveille je crois, cette sensation bizarre et agaçante sur mon visage. Je me redresse et retombe aussitôt. Le monde se met à tourner autour de moi alors que ma tête me fait un mal de chien. Je porte la main à mon front et la ressort couverte de sang. Merde… Je bouge un peu, cherchant du regard où je me trouve. Rien… rien que la mer et la plage à perte de vue. Je tente de me redresser à nouveau. Je n’ai qu’une idée en tête, il faut que je trouve des secours. Et ce n’est pas seul sur cette plage que je vais avoir de l’aide. Je tente de me lever, prenant appui comme je peux sur le sable. Je fais un pas en avant mais tout se met à tourner et je sombre à nouveau dans l’inconscience. Je ferme les yeux alors que je sens ses mains caresser doucement mon dos. Je me blottis contre lui, poussant un pur gémissement de bonheur. Mes jambes sont entrelacées avec les siennes. Si je pouvais je me collerais encore plus à lui. « Gaby ? » Je marmonne les yeux fermés. Je ne veux pas bouger, je suis trop bien là. Sa main continue de courir le long de mon dos et je crois que je pourrais rester pour toujours comme ça. Mais je sais ce qu’il a et pourquoi il veut me faire bouger. Et je refuse. Je peux bien sécher le boulot pour une journée. Je les appellerais plus tard pour leur dire que je suis malade, une gastro ou un truc du genre. Je veux juste profiter et passer ma journée à trainer au lit avec lui. En plus, lui il n’y a aucun patron qui l’attend. Il peut s’accorder une journée au lit s’il en a envie alors il n’a pas intérêt à m’en priver maintenant. « Gaby je sais que tu ne dors pas » J’ouvre un œil et grogne de mécontentement. Il ne me lâchera pas je le sens. « Quoiiiiiiiiii ? Ne m’oblige pas à bouger je suis trop bien là. » « Je sais et moi aussi mais il faut que je te parle. » Là pour le coup j’émerge complètement et me redresse d’un coup pour le regarder. Il me fait peur. Il m’a sorti la phrase que jamais personne ne veut entendre. Le je dois te parler qui sonne un peu comme une rupture. « Qu’est ce qui se passe ? » Il me sourit, surement pour me rassurer mais je reste paniqué quand même et je vois dans son regard qu’il n’est pas très à l’aise. « Rien de grave rassures toi. Je voulais juste… j’aimerais qu’on vive ensemble… » Finalement c’est un je dois te parler comme je les aime. Et je n’ai pas bougé du lit avant un moment… quelle horreur cette gastro quand même…
Second réveil, toujours ces vagues qui viennent me lécher le visage. J’ai froid. J’ai le corps entièrement trempé et la tête qui me fait toujours souffrir. Pourtant je sais que je n’ai pas le choix et que je dois me lever. Cette fois je parviens à tenir sur mes jambes et à tituber. Je fais quelques pas un peu chancelant mais malgré le monde qui tourne autour de moi. Je me force à continuer d’avancer. Il le faut. Au loin j’aperçois des formes, des enfants jouant au bord de l’eau. Enfin… une chance de secours. Ils ne m’ont pas vu alors je tente de crier mais ma voix n’arrive qu’à émettre un léger coassement. J’accélère un peu le pas, tentant de crier à nouveau pour qu’ils me remarquent enfin. Je ne suis pas sûr d’avoir réussi. Je m’effondre encore une fois, terrassé par l’effort que je viens de produire. Et les ténèbres m’engloutissent encore une fois. Mes doigts courent sur les touches, arrachant une douce mélodie à l’instrument. Je me laisse aller, emporté par la musique. Je souris, sentant deux bras venir entourer ma taille puis des lèvres se poser dans mon cou. « C’est beau… » Des petits mots chuchotés dans le creux de son oreille et qui font naitre des frissons dans tout son corps. Des petits mots qui sous entendent tellement plus. Je continue de jouer, changeant de mélodie pour jouer une balade romantique. Je le sens sourire contre moi puis ses lèvres se poser à nouveau dans mon cou. « Tu aurais du en faire ton métier… » Je soupire alors que cette discussion revient sur le tapis. Quand je joue c’est fréquent qu’il m’en parle. Il ne comprend pas. Je gâche mon talent selon lui à ne jouer que pour nous deux. « Tu sais très bien pourquoi j’ai fait ça. » Mon père était un riche homme d’affaires. Il trouvait très bien de voir son fils apprendre le piano, ça faisait bien parait-il. Il ferait un métier sérieux par contre. Hors de question d’avoir un fils musicien. C’était un boulot pour les fainéants. « Quand même… tu aurais du lui faire face. » Je me retourne et lui vole un léger baiser. « Mais si j’avais fait ça je ne t’aurais jamais rencontré. » Il grogne et rend les armes vaincu. Si je n’étais pas devenu avocat comme le voulait mon père je n’aurais certainement jamais travaillé pour cette maison d’édition. Et si je n’avais pas travaillé pour eux je n’aurais pas rencontré au cours d’une soirée leur dernier auteur vedette. Et je ne vivrais pas avec lui aujourd’hui.
J’ouvre les yeux et cette fois je suis ébloui par la lumière artificielle du plafonnier au dessus de moi. Je referme les yeux en poussant un grognement de douleur. J’entends remuer à côté de moi puis j’entends une voix résonner comme un hurlement à mes oreilles. « Ah ! Vous voilà réveillé Týr. Comment vous vous sentez ? » Je grogne et tente d’ouvrir un œil. Je vois le responsable de l’aggravation de mes maux de tête à côté de moi. Il me sourit l’air confiant. L’homme porte une blouse, surement un docteur. Je ferme les yeux et grogne à nouveau. « Où je suis ? » J’ai réussi à parler mais ma voix est encore rauque, j’arrive à peine à la reconnaitre. Je garde les yeux fermés mais je sens le mec continuer de s’activer à côté de moi. « Vous êtes au Noah’s Ark circus. Des gamins vous ont trouvé sur le plage et ils sont venus nous chercher. C’était nous les plus proches pour vous venir en aide. » Je hoche la tête mais ce simple geste m’arrache une nouvelle grimace de douleur. J’ai l’impression que mon crane va exploser. « Attendez.. je vais vous donner quelque chose pour vous soulager. » Je le sens prendre quelque chose près de moi. Quelques minutes plus tard je sens un picotement désagréable remonter le long de mon bras et enfin le mal de tête s’apaise un peu. J’arrive à ouvrir les yeux sans souffrir le martyre. Il est là à côté de moi, me souriant, surement satisfait d’avoir calmé ma douleur. Je lui souris en retour et parviens à marmonner un petit merci. J’arrive à voir plus facilement l’endroit où je suis. Je me trouve sur une sorte de table d’auscultation, un truc de médecin. Mes vêtements m’ont été enlevés et je suis en blouse blanche. J’ai une aiguille planté dans le bras, surement grâce à ça qu’il m’a filé son merveilleux calmant. Je me rallonge en soupirant. « Vous nous avez fait une belle peur Týr. Votre plaie à la tête n’était pas très belle mais je vous ai recouse. Normalement vous ne devriez pas avoir de cicatrices. » Il continue de parler mais j’attache peu d’importance à ce qu’il me dit. Mon attention s’est focalisée sur un détail de son discours. « Attendez… pourquoi vous m’appelez Týr ? » Il me regarde surpris, comme si cette question était ridicule. Pourtant mon regard se fait suppliant. Je veux savoir. « Parce que c’est votre nom… » Je secoue la tête. Non ce n’est pas mon nom, j’en suis certain. « C’est comme ça que vous ont appelé les gamins qui vous ont amené alors j’ai cru… Excusez moi. Comment vous appelez vous alors ? » J’ouvre la bouche pour parler mais les mots se bloquent dans ma gorge. Je ne sais plus… J’ai beau fouillé mon esprit il n’y a rien. Le trou noir. Plus de prénom, plus de nom, plus de passé… « Je n’en sais rien… » Il froisse sur le papier sur lequel il était entrain d’écrire et le lance à travers la pièce d’un geste rageur. J’esquive le projectile et m’approche doucement de lui. Il se tient la tête entre les mains, les coudes en appui sur son bureau. Je le force à le redresser et viens m’installer sur ses genoux, face à lui. Je sens ses traits se détendre en me voyant. Il esquisse un sourire avant que ses lèvres ne viennent trouver les miennes. « Je n’y arrive pas Gab’… Ca ne veut pas venir. » « Alors fais une pause… » Il sourit tristement et passe une main sur ma joue. « Ca y est il me l’a accordé. Un mois entier de vacances. On va pouvoir partir faire notre croisière en amoureux. » Son sourire s’agrandit alors qu’il me regarde sans vraiment y croire. « C’est vrai ? » Je ris légèrement à sa question. « Bien sur que c’est vrai. On a plus qu’à faire le plein du bateau et à prendre le large. Juste toi… moi... et la mer pendant tout un mois. » Il me serre davantage contre lui et m’embrasse avec envie. Depuis le temps qu’on en rêvait de faire ce voyage en bateau. Enfin on va pouvoir partir…
« Týr ?!! Quand tu auras fini tu pourras aussi ranger ces caisses là bas. » J’acquiesce tandis qu’il quitte la tente où je me trouve. Je n’ai plus quitté le cirque finalement. Ma plaie a cicatrisé mais ma mémoire n’est pas revenu. J’ai été à l’hôpital le plus proche passer tout un tas d’examen. Je suis amnésique c’est tout ce qu’ils ont pu me dire. Le cerveau est encore rempli de mystère et la mémoire en fait partie alors savoir si ma mémoire reviendra un jour, c’est impossible. Alors je suis resté là, profitant du fait que le cirque acceptait de me recueillir et de me donner un travail. Je termine de ranger ce que je faisais avant de m’attaquer aux autres boites. Je suis entrain de les bouger quand je tombe sur le piano. Mon regard est attiré par l’objet, un vague souvenir tente de remonter à la surface me provoquant un brusque malaise. Je tente de le saisir mais il s’évanouit avant que je n’ai pu le retenir. Je soupire et continue de ranger. C’est tout le temps comme ça. Parfois j’ai l’impression que je vais me souvenir et puis plus rien. A d’autres moments se sont des rêves étranges qui me tourmentent la nuit mais qui ne me laissent qu’un sentiment bizarre au réveil. Je termine de tout ranger puis je m’apprête à sortir. Le piano est toujours là… Je ne sais pas pourquoi mais il m’appelle. Je m’installe, caressant légèrement ses touches. Je ferme les yeux et je me laisse aller. Mes mains commencent à bouger d’elles même, tirant une douce mélodie à l’instrument. Je me détends pour la première fois depuis longtemps. Je suis complètement transporté par la musique, par la beauté de cet instant. Mais trop vite je me fais surprendre par mon chef revenu voir où j’en étais. Et la magie de l’instant s’envole…
Je lézarde sur le pont, blottit dans ses bras. Je me sens si bien là. Nos doigts sont entrelacés et je souris en voyant nos tatouages jumeaux, notre petit rappel sur notre corps de ce mois qu’on vient de passer ensemble. On est de retour chez nous, beaucoup trop tôt pour moi. J’aurais voulu que ces vacances durent toujours. Je bouge un peu et l’embrasse tendrement. « Il va falloir qu’on rentre à l’abri Gab’… » Je remue et grogne de déplaisir. « Y’a une tempête qui arrive, il faut qu’on rentre. » Je soupire mais finis par me lever. Il me retient juste un instant en souriant et me vole un autre baiser. On se lève finalement et on prépare notre voilier à supporter la tempête. Surtout que celle là s’annonce terrible…
J’ai les yeux fermés. Je me laisse complètement emporté par la musique que je joue. Ma voix s’élève, en harmonie avec les notes que je joue sur le piano. Il n’y a rien, plus rien d’autre qui compte. Ma mélodie se termine et les lumières se rallument, inondant la scène où se trouve l’artiste. Elle se fait acclamer par la foule avant que je ne me lève à mon tour pour recevoir ma part d’applaudissements pour l’avoir accompagné pendant son numéro. Je souris à la foule. Je me sens bien là…
● derrière l'écran ●
Salut ! Moi c'est SUPER LULU!!! ( puisqu'on a décrété que j'étais un super héros ). J'ai pas d'âge je suis tel superman je vieilli pas , je suis bah Superman ou plutôt SUPER LULU et je suis occupé à sauver le monde et bichonner ce forum et ses membres adorables. Je viens de la planète lulu 2000, et j'ai trouvé votre forum grâce à un de mes supers pouvoirs et je le trouve aussi beau et bon que du nutella. Sinon je fais du RPG sur forum depuis oula trop longtemps je crois et j'ai une fréquence de connexion de autant que possible. Concernant mon personnage, c'est un inventé et j'ai choisi Thomas Brodie Sangster comme avatar.
✦ Sujet : Re: It's new life for me and i'm feeling good ~Týr Publié : Lun 2 Avr - 12:16
Félicitations
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Félicitations à toi ! Nous t'annonçons avec grand plaisir que tu rejoins notre belle famille d'HYSTC ! Pour faire tes premiers pas et pour te permettre de prendre tes repères, voici une série de liens que tu peux visiter. Bienvenue chez toi
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