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every morning I walk towards the edge
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Publié : Jeu 5 Avr - 14:33


nom : Leifsdóttir, signifiant littéralement "fille de Leif" en Islandais. Non pas qu'elle en soit particulièrement fière, mais il faut bien porter son patronyme.
prénom : Alísa, qu'elle aime tout spécialement, car elle le trouve simple et rapide à prononcer.
surnom(s) : Disgust, elle s'est elle-même renommée ainsi après avoir commencé à peaufiner encore et encore son numéro.
âge : Elle n'admettra jamais son âge, mais la barre des quarante ans est passée depuis presque une dizaine d'années ; Alísa a 49 ans.
nationalité : C'est l'Islande qui a eu la chance de voir naître la danseuse, tout particulièrement la capitale Reykjavik.
origines : Islandaise de toutes les particules de son corps, elle se demande même s'il n'y aurait pas quelques consanguins dans sa famille tant celle-ci est attachée à l'Islande.
sexualité : Une tendance à l'homosexualité presque cachée derrière un mur d'asexualité ironique.
statut : Célibataire, depuis toujours, pour toujours.
groupe : Meat of Animals
rang : Freaks
profession : Strip-teaseuse, elle n'a jamais réussi à percer dans la danse, et elle a dû apprendre à se démarquer autrement.
ancienneté : Son arrivée dans le cirque est très récente, elle n'a même pas encore eu l'occasion de présenter son numéro au public
particularité : Il est quasiment impossible de donner un âge à Alísa, ce dont elle joue beaucoup, notamment dans son métier. Les marques du temps sur son corps sont visibles lors qu'elle le décide, selon les tenues, selon les postures, mais si elle décide de paraître plus jeune ou plus vieille qu'elle ne l'est réellement, vous n'y verrez que du feu...
Alísa Leifsdóttir
when I start, it ain't no stoppin'
personnalité

Ni trop secrète, ni trop extravertie, Alísa a acquis la maturité qui vient avec l'âge. D'une nature plutôt calme, elle n'est pas de ceux qui se font particulièrement remarquer. Elle accepte volontiers les conversations, les nouvelles rencontres, les sorties au bar pour partager un moment de franche camaraderie. Elle peut se montrer douce, compréhensive et à l'écoute sans pour autant perdre de sa franchise caractérisée par une tendance à ne pas édulcorer son discours, ni ses pensées. Elle aime beaucoup s'amuser, profiter de la vie, sans pour autant toucher aux excès. C'est ainsi qu'elle a toujours vécu sa vie, et c'est ainsi qu'elle compte la vivre jusqu'au bout. Elle a des envies de voyage, de découverte, de curiosité qui ne demandent qu'à se concrétiser. Malgré l'approche du demi-siècle, elle considère souvent qu'elle n'a encore rien vécu ; elle veut remédier à cela pour ne pas mourir avec des regrets.

Elle aurait certainement pu se marier, avoir des enfants, une jolie petite maison et un métier avec un bon salaire... mais la vérité, c'est qu'elle n'a jamais eu l'ambition d'avoir une telle vie. Artiste dans l'âme, elle a toujours été attirée par le domaine artistique, sans que cela ne soit particulièrement compris par son entourage. Elle a connu les critiques, le rejet, les ultimatums, mais elle a toujours tenu bon. Alísa est une femme qui sait ce qu'elle veut et qui refuse de laisser qui que ce soit lui dire qu'elle se trompe. Un peu têtue, elle est surtout particulièrement tenace, et n'abandonne jamais un projet. Même si ce projet doit prendre des années pour se réaliser. Alísa a toujours été, à sa façon, relativement marginale ; dans ses idées, dans ses envies, dans sa façon de voir le monde et de voir les autres. La retrouver dans un cirque n'est pas si étonnant que ça, pas pour ceux qui la connaissent. Et la voir mettre en scène sa propre vieillesse, sa propre mort, paraît parfaitement censé pour ceux qui savent qui elle est.

Elle ne l'admettra pas, mais l'idée de vieillir l'effraie au plus haut point, et elle craint la mort plus que n'importe quoi d'autre au monde. Strip-teaseuse de base, elle sait que vieillir signifie perdre sa place dans ce métier. Elle sait aussi que perdre son métier est, en quelque sorte, comme perdre son identité. C'est d'ailleurs ce qui lui est arrivé. Elle parle souvent du passé, comme pour se raccrocher à ses jeunes années, et se projette très peu dans le futur. Elle voudrait continuer à se voir comme une jeune femme de 25 ans, avec des rêves et des projets pleins la tête. Finalement, vieillir et mourir sur scène tous les soirs est un des moyens qu'elle a trouvé pour apaiser cette phobie. C'est ironiquement cette phobie qui lui a donné l'idée de mettre au point un spectacle autour de ce thème... Parlant du show, Alísa est quelque peu... perfectionniste. Elle ne laisse jamais rien au hasard, s'occupant de tout de A à Z pour que son spectacle lui ressemble et ressemble à l'image qu'elle s'en faisait. Elle n'aime d'ailleurs pas particulièrement que l'on vienne essayer de l'aider ; lorsqu'il s'agit du travail, Alísa est très individualiste.

Alísa a toujours tout fait pour ne jamais avoir de regrets. Néanmoins, il en reste un qui ne la quittera jamais ; celui de ne pas avoir été une mère. Avec les années, elle s'est tellement éloignée de ses proches, de tout ce qui pouvait l'enfermer dans une vie trop banale, qu'elle a mis de côté l'un de ses désirs pénétrants. Très maternelle dans ses relations, dans ses conseils, dans son rapport aux autres, elle a toujours regretté et regrettera probablement toujours le fait de ne pas avoir donné la vie à son propre enfant. Par ailleurs, la sexualité est devenue, chez elle, un sujet très éloigné de ses préoccupations. Elle n'a jamais particulièrement apprécié ça, probablement parce qu'il y a des découvertes qu'elle a refusé de faire. Aujourd'hui, elle ne voit plus l'intérêt de perdre du temps à donner son corps pour ne recevoir que de l'ennui. Elle assume la mort de sa sexualité, et c'est un sujet sur lequel elle n'a aucun mal à discuter.

En ce qui concerne sa réputation au sein du cirque, elle se considère encore trop récente dans cette nouvelle famille pour en avoir déjà une. Pourtant, lorsque les portes des caravanes sont closes, que les conversations se tissent, Disgust peut apparaître dans les conversations. Prometteuse, disent-ils, et gentille. C'est à peu près les seules choses qui ressortent véritablement des conversations en huis clos. On apprend encore à la connaître, on s'interroge sur son âge, qu'elle refuse de donner pour ne pas briser la "magie" de son show. Comme partout, elle a des affinités avec certains, et manque d'atomes crochus avec certains autres. Elle ne cherche pas à bousculer le destin, accepte les marques d'amitié, ne cherche pas à provoquer de situations conflictuelles. On pourrait dire qu'Alísa reste soigneusement à sa place, tout en essayant de la construire progressivement.

noah's & you

La nuit se lance presque en même temps que la musique, ou bien peut-être est-ce l'inverse ? Ce n'est pas une musique agréable ; plutôt une angoisse, comme le début d'un cauchemar qui vient s'insinuer dans les tympans des spectateurs. Musique soigneusement choisie, étudiée, travaillée, les détails ne sont pas laissés au hasard, Alísa ne le permettrait pas. D'abord, ce n'est que cette musique, angoissante. La place où elle se donnera en spectacle est plongée dans le noir. Elle ferme les yeux, cette fois encore elle ne pensera qu'à la douche qui lui tendra les bras après le show.

Une note de musique indique le début du spectacle, la lumière se fait. Au milieu de la scène de fortune se trouve Disgust, au maquillage travaillé, à la tenue tout aussi travaillée. Tout est fait pour qu'elle paraisse le plus jeune possible, amputant à son âge originel plusieurs dizaines d'années. Si ce n'est l'ambiance presque désagréable mise en place par la musique, les spectateurs se posent des questions, ne comprennent pas encore pourquoi cette jeune femme se trouve du côté du Freak Show. Leurs interrogations trouveront des réponses au fur et à mesure que le spectacle de Disgust se jouera. Tout le monde sait que la vieillesse effraie, car elle renvoie à une vérité inéluctable ; après la vieillesse vient la mort. Et c'est la mort qui se jouera encore une fois, ce soir.

Disgust commence son spectacle, tourne autour de la barre de pole-dance, s'échauffe, échauffe la foule. Elle reste habillée, tout est calculé à la seconde ; c'est la musique qui donne le rythme. Les notes s'enchaînent, et Disgust danse, capte l'attention du public qui en oublie presque l'aspect malaisant de la scène. Les premiers vêtements s'échappent, les premières rides se dévoilent. Tout est mis en scène, soigneusement, des vêtements qui tombent les premiers aux postures qui sont adoptées par la femme. La danse se fait moins chaste, les vêtements tombent, les mouvements viennent rappeler ceux d'un coït progressivement, et les années semblent venir peser de plus en plus sur les épaules de Disgust.

Elle s'approche du public, prend en otage l'un ou l'autre des spectateurs au hasard. De près, elle ne semble plus si jeune. Elle paraît même presque plus vieille que ce qu'elle est dans la réalité. Elle simule un acte sexuel, en vieillissant à vue d'oeil. Ce n'est qu'un jeu de tenue, un jeu de maquillage qui s'estompe à mesure que la danse prend de l'ampleur. Toujours est-il que lorsque la musique fini par mourir, Disgust meurt avec elle. Chaque soir, elle meurt à nouveau, simulant une crise cardiaque alors qu'elle a pris une quarantaine d'années en l'espace d'une demi-heure. Les spectateurs sont évacués, croyant avoir vu en direct une femme mourir de vieillesse, cette dernière vision en tête ; celle d'un corps ridé, nu, vulnérable, sans vie, au milieu de la scène...

histoire

Famille nombreuse ; Les parents d'Alísa s'aimaient follement. Si follement qu'ils ont eu ensemble huit enfants. Alísa est la quatrième enfant de la fratrie. Place tout à fait acceptable, ses frères se sont occupés d'elle, et elle a pu s'occuper de ses frères et sœurs. Faire partie d'une fratrie aussi imposante a eu ses bénéfices et ses limites. Alísa garde de son enfance les souvenirs des jeux, des rires, des conseils donnés et reçus, mais aussi les souvenirs de la faim grignotant le ventre à la fin de certains mois, le manque d'intimité dans une chambre qu'il fallait partager, et la difficulté à se construire sa propre individualité.

Incompréhension familiale ; D'aussi loin qu'elle puisse s'en souvenir, Alísa a toujours voulu devenir danseuse. Elle s'imaginait dans de grands ballets, acclamée par une foule émue aux larmes par sa prestation. Son père n'a jamais vraiment compris cette envie, qu'il qualifiait de passade. Mais la passade n'est jamais passée. Adolescente, Alísa a continué de poursuivre son rêve, sans le soutien de ses parents. Si son père était réfractaire à ce rêve, sa mère ne faisait que suivre l'avis du père. L'aîné de la fratrie, néanmoins, avec lequel Alísa partageait tout, épaulait sa petite sœur. Il ne pensait pas qu'elle deviendrait danseuse, mais il ne voulait pas la priver de son rêve. Peut-être qu'elle aurait abandonné son rêve, sans le soutien de ce frère ; à défaut, elle a abandonné sa famille pour suivre ce rêve.

Refus d'engagement ; Arrivée à l'âge de vingt ans, Alísa a refusé de se marier. Pourtant, ses parents avaient pris soin de lui présenter plusieurs jeunes hommes de familles modestes, présentant des traits communs avec la quatrième de la fratrie. Elle en connaissait même certains depuis l'enfance. Mais rien n'y faisait ; Alísa ne voulait pas d'histoire d'amour, et encore moins un mariage. Elle voulait danser. Elle avait passé son adolescence à parfaire son art, à apprendre la danse par elle-même. Elle avait même fini par passer une audition pour une petite représentation à travers le pays... Peut-être que cela a été la goutte de trop. C'était plus que ce que son père pouvait supporter. Si elle voulait vivre de sa passion, alors il décréta qu'il ne voulait plus financer de telle sottise. Et elle fut mise à la porte, sans plus de cérémonie.

Petite vie modeste ; Ainsi, Alísa ne se maria pas. Elle n'eut pas d'enfants, non plus. Elle trouva refuge chez son grand frère, pendant quelques temps. Quelques années, en réalité, juste le temps de continuer à s'accrocher à son rêve sans le voir se réaliser. Alísa n'a jamais eu le talent nécessaire pour devenir danseuse. Elle fit plusieurs auditions, ne récoltant que des refus. Son frère s'impatientait, mais par respect pour les années d'enfance passées ensemble, il refusait de la mettre dehors. Il refusait, également, de lui dire ce qu'il pensait. Lui était marié, père de deux jolis enfants ; il ne pouvait pas enlever à Alísa le fait qu'elle était une merveilleuse tante et qu'elle lui enlevait le poids du paiement d'une nourrice. Mais, finalement, ce fut Alísa qui décida qu'elle ne voulait plus s'approprier la vie de famille de son frère, ni le confort de pouvoir vivre dignement sans travailler. Venue sa vingt-huitième année, Alísa trouva enfin un travail. Elle pouvait danser, oui, tant qu'elle enlevait ses vêtements...

Dernière rupture familiale ; De tous les êtres humains présents sur cette planète, Alísa était particulièrement attachée à quatre d'entre eux ; son frère, Bóas ; sa belle-soeur, Eiríka ; sa nièce, Hilda ; et son neveu, Jón. Elle était si attachée à eux qu'elle se faisait un devoir de leur cacher son activité professionnelle. Il n'est jamais simple d'assumer, face à sa seule famille restante, que l'on se déshabille devant des inconnus pour de l'argent. Néanmoins, les secrets ne restent pas des secrets éternellement et le fait qu'Alísa était strip-teaseuse avait fini par se savoir. Même pour son frère, qui lui passait tous ses caprices, cette révélation eut l'effet d'une bombe. Une bombe douloureuse qui fit exploser les derniers liens familiaux de la jeune femme. On lui refusa le droit de s'approcher de son neveu et de sa nièce. Dans la rue, sa belle-soeur ne lui adressait même pas un regard. Elle était devenue une paria, au nom de son rêve. Mais, au moins, elle pouvait danser. Et cette vérité valait les sacrifices. Non, elle ne regretta jamais son choix ; ne plus être en contact avec les personnes ne signifie pas ne plus penser à eux, ni ne plus les aimer. Alísa n'a jamais cessé d'aimer Bóas, Eiríka, Hilda et Jón.

Carrière en construction ; Ne plus avoir d'attache avait ses avantages. Alísa pouvait être la personne qu'elle avait toujours voulu être, sans se soucier de ce que ses proches penseraient. En vérité, cela a été une libération pour elle. Elle n'a jamais été faite pour avoir des attaches. Elle excellait dans son métier. Elle apprenait vite, savait contourner les difficultés, et les clients affluaient pour la voir se dévêtir. Ce n'était pas la vie qu'elle avait imaginé, mais c'était une vie qui lui convenait. Dans cette vie, elle était elle-même. Dans cette vie, elle dansait, et on l'applaudissait. Elle avait de l'argent, de la notoriété... N'était-ce pas tout ce qu'elle avait toujours voulu ? Pouvoir vivre de son art. Même s'il était communément admis que les strip-teaseuses manquaient d'honneur, elle n'avait pas le sentiment de se trahir en performant. Au contraire, jamais elle n'eut autant la sensation de se respecter que lorsqu'elle était sur scène, à enlever ses vêtements.

Heure de gloire ; L'apogée de la carrière d'Alísa est arrivée lorsqu'elle avait 32 ans. Elle n'a jamais fait son âge, et son corps était au plus haut de ce qu'il pouvait offrir à cette période de sa vie. Alísa était la strip-teaseuse vedette du club dans lequel elle travaillait, et les hommes se pressaient pour la voir sur scène. Elle acceptait parfois de faire quelques extra, des danses individuelles qui tournaient en prostitution ; bien entendu l'établissement le niait, mais les faits étaient là. Alísa n'était pas là pour jouer avec le règlement, ni pour remettre en question les missions de son métier. Elle dansait, elle s'offrait, elle gagnait. Voilà à quoi ressemblait son quotidien. Et elle était heureuse, dans cette vie. Les rapports avec les clients la laissaient parfaitement indifférente, mais elle profitait de ces moments pour travailler ses talents de comédienne. Qu'importe... Elle était au sommet de sa gloire. Joy, tel était son surnom à cette époque ; pour la joie qu'elle apportait aux yeux et aux corps.

Le temps qui rattrape ; Toute gloire doit retomber à un moment ou à un autre. C'est la dure loi de la célébrité. Pour Alísa, la fin de la gloire arriva avec ses premiers cheveux blancs. Si son visage restait intemporel, son corps vieillissait malgré tout. Elle refusait simplement de le voir, mais elle s'éloignait progressivement de Joy pour ne redevenir qu'Alísa. Les hommes se dirigeaient davantage vers les autres danseuses. Plus jeunes. C'est peut-être à cette période qu'elle commença à comprendre qu'elle vieillissait. Et qu'elle commença à réaliser qu'elle n'avait jamais vraiment fait quoi que ce soit de sa vie.

Remise en question ; Elle avait dépassé la quarantaine et il était temps pour elle de faire un bilan de sa vie. Qu'en avait-elle fait ? Elle avait coupé les ponts avec sa famille, elle n'avait jamais construit la sienne, elle n'était pas réellement devenue danseuse, elle se mettait nue pour satisfaire des inconnus et se prostituait pour avoir une plus grosse paie. Elle n'avait jamais quitté la capitale, elle ne connaissait de son pays natal que cette ville. Elle n'avait jamais découvert le monde... Elle fini par perdre son emploi et, avec lui, par se perdre elle-même. Elle aimait être strip-teaseuse, et on lui avait enlevé cela, sans qu'elle ai quoi que ce soit pour se consoler. Elle avait amassé assez d'argent pour vivre confortablement jusqu'à la fin de sa vie. Mais il lui manquait quelque chose. Un but. Des projets...

La renaissance ; Alísa n'était presque plus que l'ombre d'elle-même lorsqu'un cirque s'installa dans sa ville. Elle y jeta un coup d’œil, curieusement, comme tout le monde. Mais la curiosité se transforma rapidement en espoir. Ce cirque, c'était sa chance. Sa chance de redevenir quelqu'un. Sa chance de voyager. Sa chance de ne pas continuer à vivre avec le poids des regrets. Elle décida de tenter sa chance, de présenter un spectacle que sa propre vieillesse avait inspiré. Ce fut le début d'une nouvelle vie. Comme un second souffle. Si elle ne pouvait plus être Joy, elle allait devenir Disgust. Quoi qu'il lui en coûte ; cela faisait des années qu'elle ne vivait plus, et elle voulait vivre à nouveau désormais. Même si, pour ça, elle devait mourir tous les soirs...

● derrière l'écran ●

Salut ! Moi c'est Dobby. J'ai 25 ans ans, je suis une femelle et je suis étudiante en éducation spécialisée. Je viens de France, et j'ai trouvé votre forum grâce à facebook, je crois et je le trouve uuuh  plup  gniibis  hihi  afraid  keurkeur  han  haan  nierk . Sinon je fais du RPG sur forum depuis un peu plus de 10 ans et j'ai une fréquence de connexion de merde, qu'on se le dise, mais j'essaie de rp environ une fois par semaine et de passer une fois par jour pour embêter les copains dans le flood. Concernant mon personnage, c'est un inventé et j'ai choisi Björk comme avatar.


Dernière édition par Alísa Leifsdóttir le Jeu 5 Avr - 18:11, édité 8 fois
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Sujet : Re: every morning I walk towards the edge   every morning I walk towards the edge Empty
Publié : Jeu 5 Avr - 14:46

Hey, bienvenue à toi sur cet humble forum ~
Ta fiche a déjà quelques informations fort intéressantes ! J'ai hâte d'e savoir plus, donc bon chance pour la suite ~

Et amuse-toi bien parmi nous, c'est bien de venir embêter les gens dans le flood ~ Wink


Dernière édition par Maximilian Fleming le Jeu 5 Avr - 14:56, édité 1 fois
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Sujet : Re: every morning I walk towards the edge   every morning I walk towards the edge Empty
Publié : Jeu 5 Avr - 14:51

Hello toi et bienvenue sur le forum.

J'aime beaucoup ce que je lis déjà et puis quel choix de folie pour l'avatar. Je plussoie!!

Je viendrais surement t'embêter avec mon DC pour un lien, islandais lui aussi. Entre islandais faut se soutenir.

Bon courage pour ta fiche et si t'as des questions tu n'hésites pas.
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Sujet : Re: every morning I walk towards the edge   every morning I walk towards the edge Empty
Publié : Jeu 5 Avr - 15:25

Merci à vous deux pervv

J'espère que mon islandaise saura vous plaire, en tout cas !
Et ce sera avec plaisir pour le lien, entre islandais, ils vont bien se trouver des points communs keu

Merci encore pour l'accueil hihi
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Sujet : Re: every morning I walk towards the edge   every morning I walk towards the edge Empty
Publié : Jeu 5 Avr - 16:40

MY GOD ! uuuh
J'adore tout ce que j'ai déjà pu lire jusque maintenant yip Bienvenue parmi nous Desgust sourcil
Une freak - stripteaseuse - danseuse de la mort avec le vava de Björk, qui est devenue asexuelle... han P.E.R.F.E.C.T Lick J'ai hâte de lire ton histoire Excited
Si t'as des questions, n'hésite surtout pas ! pliz HEART
... et si l'envie t'en prend, Disgust sera la bienvenue sous la tente de Belphé pour lui apprendre à aimer et à redécouvrir le coït sourcil sourcil
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Sujet : Re: every morning I walk towards the edge   every morning I walk towards the edge Empty
Publié : Jeu 5 Avr - 16:58

Omg, meilleur message de bienvenue du monde keurkeur keurkeur
Tes personnages sont extraordinaires, alors tes compliments me vont droit au cœur ! han plup
L'histoire arrive très rapidement, en espérant qu'elle soit aussi plaisante que le reste de la fiche !

... juste par curiosité, je suis sûre qu'elle serait capable d'aller lui rendre visite perv
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Sujet : Re: every morning I walk towards the edge   every morning I walk towards the edge Empty
Publié : Jeu 5 Avr - 17:04

Alísa Leifsdóttir a écrit:
Omg, meilleur message de bienvenue du monde keurkeur keurkeur
Tes personnages sont extraordinaires, alors tes compliments me vont droit au cœur ! han plup
L'histoire arrive très rapidement, en espérant qu'elle soit aussi plaisante que le reste de la fiche !

Merci pour le compliment !  What a Face J'essaye de soigner mes entrées  sourcil
En parlant de mes perso, je serai honorée d'avoir des liens avec le tien  brill Un Freak socialement handicapé et une Étoile tarée-érotomane (de 40 piges) J'pense qu'il y a moyen de trouver des choses sympas  What a Face  What a Face

J'ai hâte de lire ton histoire  love
PS : Björk, c'est vraiment une bonne idée de vava ! Sincèrement ! Je trouve qu'on ne la voit pas assez et ici, je la trouve complètement dans son élément  Niii  Très bon/beau choix !  Niii

Alísa Leifsdóttir a écrit:
... juste par curiosité, je suis sûre qu'elle serait capable d'aller lui rendre visite perv
... et elle y sera TRÈS bien accueillie  sourcil  perv
@Maximilian Fleming peut en témoigner  Freedent  éclat de rire
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Sujet : Re: every morning I walk towards the edge   every morning I walk towards the edge Empty
Publié : Jeu 5 Avr - 19:26

Félicitations
Tu viens d'intégrer officiellement la belle famille d'HYSTC

Félicitations à toi ! yip
Nous t'annonçons avec grand plaisir que tu rejoins notre belle famille d'HYSTC ! Pour faire tes premiers pas et pour te permettre de prendre tes repères, voici une série de liens que tu peux visiter. Bienvenue chez toi gniibis

Ici, c'est ta partie ! Tu trouveras tout ce dont du as besoin pour la gestion de ton personnage. C'est que tu vas pouvoir créer une fiche où tu recenseras tes sujets, tes relations,... De plus, si tu veux enrichir ton personnage, tu peux créer des pré-liens et des scénarios.

Sinon, côté bottins, tu vas pouvoir recenser ta bouille et ton métier. Si tu fais partie du cirque et que tu es un artiste/novice/freak, il faut répertorier ton numéro. Et si tu es une étoile, n'oublie de consulter ce sujet pour voir si tu y apparait bien !

Pour terminer, je te conseille fortement de surveiller la partie des annonces et des nouvelles. Ainsi, tu seras prévenu dès que le staff y publiera quelque chose ! Et n'oublie pas que si tu as quelque chose à dire/à proposer/à protester/à commenter, tu peux t'exprimer dans ce sujet Razz

Sur ce, amuse-toi bien parmi nous ! pirate


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Sujet : Re: every morning I walk towards the edge   every morning I walk towards the edge Empty
Publié : Jeu 5 Avr - 20:05

Merci beaucoup pour la validation !
Je vais aller faire toute la paperasse, maintenant mdr
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Sujet : Re: every morning I walk towards the edge   every morning I walk towards the edge Empty
Publié : Ven 6 Avr - 8:46

Félicitations pour ta validation ~

Oui, je peux témoigner, Bel est très doué ... mais chut ! éclat de rire
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Sujet : Re: every morning I walk towards the edge   every morning I walk towards the edge Empty
Publié : Ven 6 Avr - 9:35

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Sujet : Re: every morning I walk towards the edge   every morning I walk towards the edge Empty
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