Le renouveau a toujours été, d'abord, un retour aux sources // Zaccheo

nom : Jóhannsson
prénom : Zaccheo Snær
surnom(s) : Zacch principalement.
âge : 31 ans, né le 31 mai 1986.
nationalité : Akranes, Islande.
origines : Origines Islandaises par ses deux parents.
sexualité : Bisexuel à tendance homosexuelle.. Il n'y aura jamais d'autre femme dans son cœur que sa défunte épouse.
statut : Veuf depuis quelques années maintenant, célibataire depuis quelques mois seulement.
groupe : Candy Clown
rang : Outsider
profession : Anciennement Professeur d'Histoire de l'Art à l'université.
ancienneté : Revenu en Islande depuis quelques semaines seulement.
particularité : Adepte du SM, c'est bon ?

Zaccheo Snær Jóhannsson

Le renouveau a toujours été, d'abord, un retour aux sources

personnalité
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Zaccheo pourrait faire une liste aussi longue qu'un parchemin s'il devait décrire son caractère de chien. Parce que oui, dire qu'il a mauvais caractère est un doux euphémisme, surtout depuis cet accident stupide qui l'a momentanément cloué dans un fauteuil roulant. Si avant il pouvait lui arriver d'être aimable, aujourd'hui, il sera plus enclin à envoyer bouler le monde qu'à leur sourire. De toute façon, pour obtenir un sourire de cet homme, il faut plutôt bien s'accrocher. Un véritable ours !

Dans ses bons jours, il est possible d'entreprendre une conversation avec l'islandais. Peut-être même qu'il pourra se faire quelques amis ou du moins apprécier certaines de ses connaissances. Mais dans ses jours sombres, il est déconseillé de croiser sa route. Humeur massacrante, excès de colère, tout y passe. Et pourtant, Zaccheo n'est pas méchant pour deux sous, bien au contraire. Mais la vie l'a tellement poussé à bout qu'aujourd'hui, il préfère se renfermer sur lui même que de souffrir encore et encore.

De plus, Zaccheo a un caractère bien à lui, mais ça, c'est de famille. Son père est une véritable tête de mule ! Mais sans ça, il a un petit côté dominant, possiblement involontaire, mais qui, sûrement, l'a poussé à se tourner vers le masochisme. Cependant, il est évident que dans la scène, ce n'est pas lui le soumis. Son franc parlé ainsi que son ton froid en fond un excellent dom. Et aussi étonnent que ça puisse paraître, il n'y a que dans ces moments là qu'il pourra se montrer terriblement attentionné.

noah's & you
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Zaccheo a d'abord été étonné d'apprendre la nouvelle d'un cirque dans les parages. Oh sûr qu'il en avait déjà vu, des cirques, lors de ces nombreuses visites dans sa famille islandaise, mais pas d'aussi grand. Celui-ci est vraiment très grand. Il n'y a pas porté trop d'attention dès son arrivé. Ce n'est que quelques jours plus tard qu'il s'y est rendu. Enfin, qu'on l'y a traîné. Sa cousine Kára avait promis à ses enfants de les y amener alors, elle a proposé qu'il les accompagne. Sa réponse a d'abord été un "non" catégorique mais après avoir réfléchit et surtout pour que ses gamins lui foutent la paix, il a finalement accepté. Et pour être honnête, il dois avouer qu'il est plutôt content d'être revenu sur sa décision.

L'Art avec un grand "A". C'est ce que qu'il y a vu. Oh, bien sûr, c'est différent de l'art que qu'il a étudié puis, qu'il a enseigné par la suite. Mais malgré tout, il était émerveillé par ce qu'il a vu. stórkostlegt.

Depuis, il y est retourné quatre ou cinq fois, peut-être plus. Avec les enfants ou tout seul. Après tout, ce n'est pas parce qu'il est en fauteuil qu'il ne peux pas se déplacer. A chacune de ses visites, il y découvre toujours quelque chose de nouveau. Et, il aime cette idée.

histoire
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« La vie n'a qu'un sens : une ligne qui va de la naissance à la mort, le reste n'est que broderie. »

Je suis né dans dans une ville accueillant environ six mille cinq-cent-quarante-neuf habitants. La ville en question s'appelle Akranes dans la région de Vesturland qui signifie région de l'Ouest. Après de longues heures d'attente, j'ai montré le bout de mon nez le 31 mai 1986 à quinze heures trente et il faisait approximativement six degré dehors. Température tout à fait normale pour la fin du mois de mai en Islande et mes parents, Minna et Jóhann étaient, d'après ce que mon père a pu m'en dire, comblés de joie d’accueillir leur premier petit ange. Premier d'une longue série, ils l’espéraient. Malheureusement, la vie a joué un mauvais tour à mon père et a emporté ma mère quelques minutes seulement après m'avoir mis au monde. Il en fut dévasté. Il venait de perdre l'amour de sa vie et avait sur les bras un bébé. Il a eu beaucoup de mal à gérer la situation au début, mais avec le temps, il s'y ai fait. Du moins aussi bien qu'il a pu.

« L'enfance. L'âge de la vie où tout semble possible, où on imagine qu'il suffira de vouloir changer son destin. »

Mon père, après trois longues années de galère intense à prit le parti de déménager. Loin, très loin de mon pays natal, de ce pays qui, lors de ma naissance, lui a enlevé sa seule raison de vivre (selon lui).
Ainsi, c'est avec quelques sous en poches, un enfant de trois ans sous le bras et quelques bagages que mon père est parti direction Montréal. Pendant quelques mois, nous avons été hébergé chez un couple d'amis qu'il s'était fait lors de ses nombreux voyages de jeunesse. Étonnement, il avait alors gardé contact. Et vu la situation, c'était une aubaine. Sinon, je ne vois pas trop comment nous aurions fait. Il a rapidement trouvé un travail chez un libraire. Bien évidemment, il ne gagnait pas des cents et des mille mais l'argent rentrait. Ainsi, au bout d'un an peut-être, j'avais alors quatre ans, nous avons eu un véritable chez nous. Une adorable petit appartement pas trop cher. Certes, ce n'était pas le grand luxe, mais pour papa et moi, c'était bien suffisant. Il l'avait arrangé, et nous étions bien. D'ailleurs, c'est à partir de ce moment là que papa a commencé à retrouver le sourire. Ce que j'aimais moi, c'était l'entendre siffloter des chansons pendant qu'il nous préparait le repas. Repas qui parfois était un peu trop marron à mon goût. Mais je ne lui disais pas. Je souriais et mangeais, juste pour faire plaisir à papa et qu'il garde le sourire. Et finalement, comme tous les enfants, j'ai grandi. Cinq-six-sept ans. Dix-douze-quatorze et bam, bonjour l'adolescence et son lot de problèmes.

« La maladie de l'adolescence est de ne pas savoir ce que l'on veut et de le vouloir cependant à tout prix. »

Techniquement, les problèmes ont commencé à arriver quand, à l'âge de dix ans, mon père a ramené à la maison une certaine Madison Arper. Il l'a rencontré au détour d'un café pendant sa pause déjeuner. Rapidement, ils ont sympathisé et c'est quelques mois seulement après leur rencontre qu'il me la présente. Elle est grande quoique légèrement plus petite que mon père, ni trop fine ni trop ronde, avec de longues jambes. Ses cheveux ont la couleur du miel et ses grands yeux sont d'un bleu couleur océan. Je la trouve jolie. A ce que j'ai pu comprendre, elle travaille comme éditrice.

Je suis sûr qu'à l'époque, j'aurais très bien pu m'entendre avec elle si mon père ne m'avait pas dit qu'elle remplacerait la mère que je n'avais jamais eu. C'est alors que, du haut de mes dix petites années, je les ai regardé tour à tour et sans hésiter, j'ai dit : « Jamais elle ne sera ma maman ! Maman elle est morte. Un point c'est tout ! ». Quelques temps après, Madison s’installait chez nous et j'entrais véritablement dans l'adolescence pure et dure avec ses crises et ses conflits.

Quatre ans après ma rencontre avec la copine de mon père qui, soit dit en passant est âgée de dix ans de moins que ce dernier, celui-ci m'annonce qu'ils vont se marier. A cet instant, je ne sais pas si je dois les croire ou non. Mais le plus surprenant reste à venir. En effet, quelques jours après m'avoir annoncé leur mariage prochain, ne voilà-t-il pas qu'ils m'annoncent que la demoiselle attend un petit monstre. Et là, j'ai longuement hésité entre plusieurs choses : soit aller vomir le repas infâme que je venais d'avaler avec le plus grand mal, soit de me mettre à rire si fort et si longtemps que j'en aurais attrapé des crampes ou tout simplement quitter l'appartement. J'ai opté pour la crise de rire et finalement, mon père tellement outré par mon comportement, soit disant déplacé m'a ordonné de quitter la maison pendant une heure ou deux pour me calmer. Je suis revenu trois jours après.
Inutile de préciser que, lorsque je suis réapparu il était fort désappointé le paternel. Si bien que j'ai vu ma liberté se réduire à deux choses : le collège et la maison.

J'ai passé mon brevet et rapidement, le monstre est arrivé venant ainsi bousculer nos vies. Enfin, le monstre est mal choisi car il s'agissait d'une fille. Oui, j'ai donc eu une petite sœur. Ava. Trois mois après sa naissance, mon père se mariait avec Madison. Et inversant la tradition, il est devenu Jóhann Arper. J'étais donc le seul à porter un nom de famille différent et pour être franc, je le vivais plutôt mal. C'était sûrement dû aux hormones.

Finalement, les années ont passé. J'ai fini par accepter ma belle-mère, qui, comme mon père l'avait alors affirmé, a prit le rôle de ma mère sans pour autant l'effacer de notre souvenir. Quant à ma relation avec Ava, elle est de plus en plus forte au fil des années. J'ai eu du mal, les deux premiers mois et puis, tout naturellement, mon instinct de grand frère à prit le dessus. Elle est devenu ma princesse.

« Trouver son chemin est une affaire personnelle, une affaire de lectures, de rencontres, de famille quelquefois, d'amitié le plus souvent. »

Et enfin, c'est à l'âge de vingt-ans, alors que j'avais enfin trouvé ma voie dans l'art et plus précisément dans son histoire, que j'avais quitté le cocon familial et déployé mes propres ailes pour venir faire mes études en France afin de rejoindre l’École du Louvre, que j'ai compris ce que mon père me racontait si souvent. La chaleur inexplicable, la tête qui bourdonne et les papillons dans le ventre, quand, au détour d'un couloir vous la croisez. Elle, lui, la personne qui, par ses doux regards, ses adorables sourires et ses mots tendres arrive à apaiser votre angoisse. L'amour de votre vie, sans aucun doute.

L'amour de ma vie s'appelle Miléna.

« La mort n'est qu'un autre chemin qu'il nous faut tous prendre »

A l'âge de vingt-cinq ans, après cinq ans de relation, j'ai finalement épousé Miléna devant les siens, devant les miens. J'avais enfin trouvé ma place dans ce monde de fou. J'avais trouvé ma propre raison d'exister au delà de ma famille. C'était elle. Nous étions jeunes, nous étions amoureux, ambitieux, confiant en l'avenir. Nous voulions des enfants, trois ou quatre. Des filles, des garçons. Peu importe tant que nous étions tous les deux. Seulement, le destin en a décidé autrement et tout comme mon père j'ai connu la douleur de perdre celle qui, pendant neuf ans, a été mon soutien, ma force, mon inspiration. Celle qui tout les jours m'encourageait. Celle que j'aimais. A l'âge de vingt-neuf ans, j'ai perdu ma femme dans un tragique accident de voiture.

L'amour de ma vie s'appelait Miléna.

Presque un an plus tard, j'ai accepté un poste de professeur dans une faculté d'art et je vivais au jours le jours tentant misérablement de me remettre de la perte de l'être que j'avais de plus cher au monde, de me relever et d'avancer vers des jours meilleurs comme l'a si bien fait mon père il y a deçà bien des années.

« Le renouveau a toujours été d’abord un retour aux sources »

J’ai fais quelques temps dans la ville de Baltimore. Presque deux ans durant lesquelles j’ai fait de nombreuses rencontres. J’y ai rencontré un jeune homme qui est bien vite devenu mon premier amour au masculin. Cela a duré quelques temps puis le temps à faire son oeuvre et nous nous sommes séparés, en bons termes cependant. Mais ma plus grande rencontre a sans aucun doute été ce fleuriste qui a sû se rendre indispensable à ma vie en devenant mon meilleur ami. Un fleuriste tout ce qui a de plus ordinaire si on oublie le détail suivant : mon meilleur ami est un tueur en série. Plus exactement, il débarrasse le monde des parents indignes. Notre relation amicale n’a pas été de tout repos durant ces deux ans. Bien au contraire. Bien que nous passion de nombreuses heures ensembles à rire et à boire, à discuter et à corriger mes piles toujours trop grandes de copies, nous avons aussi vécu des heures terriblement sombres. C’est d’ailleurs une d’elles qui m’a cloué dans un fauteuil roulant.

C’est durant un après-midi en compagnie de mon meilleur ami qu’une dispute a éclaté entre nous, plus violente encore que toutes celles que nous avons eu. Une dispute qui nous a poussé à bout tous les deux. Une dispute qui m’a fait éclaté, m’a brouillé l’esprit. J’ai pris la route, aveuglé par ma rage. Je n’ai rien vu venir. Ni le virage trop serré, dangereux, ni l’arbre que je finis par percuter à une vitesse bien trop élevée. Quand j’ai ouvert les yeux, mon meilleur ami était à mes côtés alors que j’étais allongé dans un lit aux draps trop blancs, dans une chambre aux murs trop pâles. J’étais perdu. Mais le plus déroutant était mes jambes qui restaient immobiles. Lésion médullaire incomplète. C’était le verdict des médecins. D’après eux, ça prendrait du temps avant que je ne retrouve ma complète mobilité, mais avec l’aide de nombreuses séances de kinésithérapie et de la patience, mes jambes redeviendraient ce qu’elles étaient. Mais dans combien de temps ? Puis le coma. Traumatisme crânien sévère. Un hématome que les médecin n’avait pas vu et qui, à mon réveil aura provoqué une amnésie traumatique.

Après avoir passé de longs moi chez mon meilleur ami à essayer de me remettre sur pieds alors que la dépression prenait un peu plus sa place dans mon esprit, nous en sommes tous arrivés à la conclusion qu’un changement radical d’environnement serait bénéfique. Et même si pour certain l’acceptation de cette décision a été compliqué, j’ai fini par faire mes valises afin de rentrer au pays. Pas le québec. Non. Je ne voulais pas redevenir un poids pour mes parents. Alors je suis repartie en Islande. Là où de la famille m’attendait. Aujourd’hui, ça fait un peu plus d’un mois que je suis ici et je crois que dans l’ensemble, je peux dire que je vais mieux. Mes jambes ne me portent pas encore mais je ne baisse pas les bras pour autant. Je suis partie pour une raison : reprendre ma vie en main et c’est bien ce que je compte fais ici. Retrouver mes jambes pour de nouveau pouvoir arpenter ces paysages que j’aimais tant autrefois.

● derrière l'écran ●

Salut ! Moi c'est ...non, ça sert à rien de poser la question, j'ai jamais réussi à m'en trouver un ... . J'ai dix plus dix égale... vingt ans, je suis toujours une femme aux dernières nouvelles et je suis une asociale de compèt'. Je viens de quelque part, comme tout le monde, et j'ai trouvé votre forum grâce à un certain français, toujours et je le trouve luv

. Sinon je fais du RPG sur forum depuis trois ans maintenant et j'ai une fréquence de connexion de quotidienne si ce n'est pas plusieurs fois par jours. Concernant mon personnage, c'est un inventé. et j'ai choisi Andreas Dermanis aka Drédré pour les intimes comme avatar.

MEMBRE : 05/07/2015

Haaaaaaaaan le Zacchamouuuuuuuuuuuuuuuur

Contente que tu ai enfin pu le ramener ma belle

Bon courage pour ta fiche

MEMBRE : 14/11/2017

Ah yeah ! Zacch est enfin là ~
À force d'en entendre parler, j'avais hâte de découvrir sa fiche ! Donc bon courage pour la finir ~

Merci mes chatons ! Heart

Le voilà ENFIN ! Il lui fallait bien un retour aux sources à cet homme. Et puis, ça aurait été bête de ne pas le ramener alors qu'il est islandais et que le Cirque s'est établi en Islande ! mdr

MEMBRE : 05/07/2015

Voilà un futur client pour mon p'tit Bel, avoue ! sourcil

Sur ce ! Quel beau personnage ... Dans le sens où moi je vois plein de potentiel là dedans! meuh

Et puis, mention spéciale quand même parce que c'est notre premier Candy Clown ! Et ça, MERCI ! afraid

Ecoute, si tu n'as rien contre les handicapés (c'est momentané mais tout de même) adeptes du SM, je pense alors que ouais, ça peut clairement devenir un client de Belphéchou sourcil

Je ne sais pas s'il a beaucoup de potentiel, mais j'avais envie de le reprendre et de voir sur quelle voie je pouvais l'amener ce bébé. A voir, mais j'en suis terriblement curieuse.

C'est un plaisir, merci à vous de l'accueillir ! HEART

MEMBRE : 05/07/2015

Rebienvenue avec ton bébé, depuis le temps que tu le voulais ^^
Bonne chance pour ta fiche HEART

MEMBRE : 05/07/2015

Moi perso, je n'ai rien contre les handicapés et les adeptes du SM ! sourcil

Que du contraire d'ailleurs ! ça change de mes habitudes ! huhu

Puis, à partir du moment où le client paye et prend son pied, sincèrement, qui suis-je pour juger ? What a Face

...

Pour moi, ton perso il a tout a gagner justement, parce qu'il est un Candy Clown. Hors du cirque, il peut - ou pas - se faire des attaches et il va pouvoir réellement évoluer en fonction du chemin que tu vas lui faire prendre. En faite, c'est un perso que j'appelle : 'feuille blanche' éclat de rire

- ce n'est absolument pas péjoratif !! éclat de rire

pour ceux qui aiment l'art, ils vont tout de suite savoir de quoi je parle pervv

d'où le potentiel en faite sourcil

MEMBRE : 05/07/2015

Bon, malgré quelques petites erreurs d'inattention et un paradoxe de narration dans la partie Noah's & you, je vais pas faire mon chieur huhu

Félicitations

Tu viens d'intégrer officiellement la belle famille d'HYSTC

Félicitations à toi ! yip
Nous t'annonçons avec grand plaisir que tu rejoins notre belle famille d'HYSTC ! Pour faire tes premiers pas et pour te permettre de prendre tes repères, voici une série de liens que tu peux visiter. Bienvenue chez toi gniibis

Ici, c'est ta partie ! Tu trouveras tout ce dont du as besoin pour la gestion de ton personnage. C'est là que tu vas pouvoir créer une fiche où tu recenseras tes sujets, tes relations,... De plus, si tu veux enrichir ton personnage, tu peux créer des pré-liens et des scénarios.

Sinon, côté bottins, tu vas pouvoir recenser ta bouille et ton métier. Si tu fais partie du cirque et que tu es un artiste/novice/freak, il faut répertorier ton numéro. Et si tu es une étoile, n'oublie de consulter ce sujet pour voir si tu y apparait bien !

Pour terminer, je te conseille fortement de surveiller la partie des annonces et des nouvelles. Ainsi, tu seras prévenu dès que le staff y publiera quelque chose ! Et n'oublie pas que si tu as quelque chose à dire/à proposer/à protester/à commenter, tu peux t'exprimer dans ce sujet Razz

Sur ce, amuse-toi bien parmi nous ! pirate

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