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See the world in an ink stain ✄ Hope H. Osborne
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Publié : Dim 10 Sep - 2:11


nom : Osborne.
prénom : Hope Harmony.
surnom(s) : Princesse par mes frères, mademoiselle par les autres.
âge : 26 printemps, j'ai vu le jour le 19 janvier 1991.
nationalité : Anglaise.
origines : Françaises du côté paternelles et je suppose des origines anglaises du côté maternelle.
sexualité : Pansexuelle.
statut : Célibataire.
groupe : Umbrella of funambule.
rang : Freaks.
profession : Tatoueuse.
ancienneté : Très nouvelle.
particularité : L'encre sur mon corps, ça compte ?
Hope H. Osborne
"Un tatouage est la reproduction d'une histoire, d'une blessure, d'un sentiment dont on veut se souvenir éternellement."
personnalité
On ne peut pas dire que j'ai vraiment un "sale" caractère. Seulement, j'ai appris à ne plus me laisser marcher sur les pieds mais je pense qu'avoir trois frères m'a bien aidé dans le processus. J'ai longtemps était considérée comme une gamine naïve. Le suis-je encore ? Je ne sais pas trop. J'aurais tendance à dire que non, mais en même temps, qui aimerait se qualifier de naïf ? Personne ! ● A l'heure actuelle, j'aime me voir comme une jeune femme assurée avec la tête sur les épaules tout en gardant son côté enfantin. Je reste quelqu'un de très accessible. J'aime rencontrer de nouvelles choses, de nouvelles personnes venant de tous les horizons. Concrètement, j'ai une sorte de fascination pour la diversité et mon parcours de vie le prouve bien. ● Je suis très sociablePatiente et de tempérament calme, je passerai des heures à regarder la nature vivre et évoluer. Ecouter le vent souffler dans les branchages des arbres un jour d'automne. Fermer les yeux et me laisser caresser par la douceur d'un rayon de soleil un après-midi d'été ou encore, emmitouflée dans un manteau bien chaud, m'asseoir sur un banc alors que les flocons de neige dégringolent lentement. ● J'adore les animaux mais en particulier les chiens. ● Cependant, je reste quelqu'un de très franc. Je suis affirmée et je n'ai pas ma langue dans ma poche. Je ne l'ai d'ailleurs jamais eu.  J'entends par là que si quelque chose me déplaît, je ne suis pas du genre à me taire et laisser passer malgré ce cela m'ai déjà apporté de nombreuses remontrances. ● La méchanceté gratuite me rend littéralement malade quelque soit la forme qu'elle prend. ● Dotée d'une empathie "un poil" exacerbée, j'ai tendance à me noyer sous ce que je peux ressentir et malgré les années, je n'ai jamais vraiment réussi à m'y habituer. ● Je suis une jeune femme passionnée par la vie et irrévocablement amoureuse de mon art qui est le tatouage, mais ce n'est pas une surprise, n'est-ce pas ? ●

noah's & you

En m'installant ici parmi ces dizaines et dizaines de personnalités toutes aussi différentes les unes que les autres, j'ai trouvé ce qui manquait à ma vie. J'ignore si cela va durer mais pour l'instant, je m'y sens bien. Sans grande surprise, c'est en tant que tatoueuse que j'ai rejoins le Noah Ark Circus. Ça aurait pu être une chance de repartir sur quelque chose de nouveau, apprendre et découvrir et je n'exclus pas cette possibilité, bien sûr, mais pour le moment, je m'épanouis dans l'art du tatouage. Alors pourquoi en changer ?

N'ayant pas de préférence, je tatoue aussi bien les corps masculins que les corps féminins. Aussi bien des jeunes que des moins jeunes. Pas de mineurs cependant mais de toute façon, étant située du côté du Freak Show, endroit légèrement à l'écart du cirque et interdit au moins de dix-huit ans, je n'en croise que rarement. Je tatoue parfois au grès de mes envies, parfois on me demande quelque chose de bien précis ou bien quelque chose de plus vague. Cela n'a pas d'importance.  

Parfois, j'aime m'installer dehors. Voir d'autres personnes. Des plus jeunes, des enfants courant dans les allées du cirque criant de joie et d'excitation. Quand c'est le cas et que mon stand se trouve à la vue de tous, je ne fais que de l'éphémère. Mais si, vous savez, ce genre de tatouage disparaissant au bout d'un certains temps. Ce n'est pas pareil mais c'est une sorte d'art et ça reste du tatouage malgré tout, alors, je ne m'en plains pas. Et puis, j'aime voir le sourire d'enfants ou d'adolescents arborant fièrement cette marque qui, pourtant, finira par s'estomper.


histoire
J'ai vu le jour un beau matin de l'année 1991 dans une famille que je qualifierais de plutôt traditionnelle. J'entend par là, une famille croyante et pratiquante. Un homme, une femme, des enfants allant à l'église tous les dimanche et effectuant à chaque repas le bénédicité. Une famille telle que la voit l'Eglise catholique. Pour être tout à fait exacte, je suis née le 19 janvier de cette fameuse année 1991. Comme habituellement, le ciel gris avait pris place dans le ciel et il pleuvait des cordes quand mes parents sont arrivés en catastrophe au Royal Hallamshire Hospital de Sheffield. Quelques heures plus tard, je pointais le bout de mon petit nez et je fus nommée Hope Harmony Osborne. Je n'étais pas bien grande, ni bien grosse : j'atteignais avec peine les quarante-cinq centimètres et peser un peu plus de deux kilos. Mes parents ont choisi « Hope » comme premier prénom car j'étais leur petit miracle, la petite fille tant attendue après trois beaux garçons du noms de Casey, Ashley et Robyn. Étant également la seule fille, j'ai eu le droit au prénom de ma grand-mère paternelle comme second prénom, Harmony.
Être la petite dernière d'une fratrie de trois garçons, c'est loin d'être évident. Je me rappelle qu'il y a eu beaucoup de disputes pendant notre enfance. De petites disputes sans gravité, des chamailleries d’enfants. Quelques jalousies également mais c'est communs chez les enfants. Puis nous avons grandi. L’aîné de mes frères a atteint la majorité alors que les deux autres étaient en pleine adolescence. A cette époque, j’avais tout juste neuf ans, je ne me souviens pas vraiment de leurs adolescences. En revanche je me rappelle très bien de la mienne.


~ I’m not ok, it’s not alright.

Mon adolescence a été une période très mouvementée dans ma courte vie. Bien évidemment, j’ai voulu tester les limites comme tout adolescent. Les miennes d’abord, puis celles de mes parents et de leurs croyances. Qu’étaient-ils prêt à supporter ? Jusqu'où j'étais prête à aller ?
Les cris venaient perturber la tranquillité de notre foyer. Des “Hope” par-ci, des “Hope Harmony Osborne” par-là. Demandez à mes parents et je suis sûre qu’ils vous diront que j’ai été la pire adolescente qui leur eût été donné de voir. Je ne sais pas ce qui a été le plus compliqué à supporter pour ma mère. Est-ce les premiers tatouages ? Est-ce les premiers trous que j’ai fais faire sur mon corps ? Est-ce les “gueules de bois” à répétitions ou les heures de cours séchées accompagné d'heure de colle ? A moins que cela soit mes fréquentations que mes parents n'approuvaient absolument pas. Mais il n'y avait rien d'étonnent à cela. Mes amis de l'époque étaient des marginaux aimant la musique « hard » et ne se mêlant pas aux « autres » de la société. Nous étions un peu comme les vilains petits canards et je crois que, dans un sens, c'est ce que j'aimais. Nous avions tous notre propre style bien que chacun se retrouvait un peu dans les autres. Quoi qu’il en soit, j’ai eu des heures et des heures de punitions. Et aussi surprenant que cela puisse paraître, mes parents ont été assez inventifs. Outre les privations de portables et d’ordinateur ainsi que de sortie si communes, j’ai eu le droit à la messe tous les dimanche pendant presque un an sans oublier les passages obligés au confessionnal pour discuter de mon “comportement inapproprié et incorrect” avec le Père Andrew. Cela ne m’a pas calmé pour autant. Bien au contraire, j'ai multiplié les expériences et les provocations, m'affirmant alors de jours en jours. Heureusement qu’à ce moment, mes parents n'avaient pas encore connaissance pour mon orientation sexuelle qu’ils auraient qualifié de débrider, voir de “démoniaque”. Leur fille pansexuelle. Quel affront !

~ Can you feel my heart ?

Ma passion pour le tatouage a commencé très tôt. Je devais avoir dix ou onze ans quand j’ai commencé à m’y intéresser réellement. Par hasard, j'étais tombée sur des photographies d'hommes et de femmes aux corps recouvert d'encre et de dessins. Je me rappelle les avoir trouvé magnifiques. De véritable œuvre d'art humaine. Au début, je cachais dans mon sac d’école les magazines que je m’achetais avec mon argent de poche. Mes parents les auraient jeté et m’auraient sûrement puni s’ils les avaient trouvé. Je n’ai commencé à affirmer ma passion que quelques années plus tard, vers quatorze ans. L’année d’après je m’offrais mon premier tatouage au grand désespoir de ma mère qui a tout tenté pour m'en dissuader me parlant alors de la douleur et des risques de complications possibles, me rappelant aussi que j'étais jeune et que plus tard, alors que j'aurais grandi, je regretterai cette horreur, allant même jusqu'à affirmer que Dieu me punirai pour cet acte. Comment osait-elle !? Mais je ne l'ai pas écouté un seul instant, bien décidée à marquer mon corps de cet art que j'aimais déjà tant. Je me rappelle cet instant, celui où les aiguilles ont percé ma peau pour la première fois et que l’encre a tracé les premiers motifs sur mon dos. J’étais partagée entre crainte et joie. Adoration et fascination. Douleur aussi. C'est là, en cet instant, que j’ai compris. A l’âge de quinze ans, j’ai trouvé ma voie, ma vocation. Je savais alors que je deviendrai une artiste mais pas n’importe quel artiste. Je serai une artiste tatoueuse.

~ And I’m drowning in the “déjà vu”.

Dix-sept ans, le bel âge. Enfin, ce n’est qu’une pure théorie dans mon cas. En ce temps là, je n’étais pas comme mes parents, eux les utopistes catholiques. Bien au contraire, j’avais tendance à voir le monde plus noir qu’il ne l’était déjà. C’est également à cette époque que j’ai quitté la maison ne supportant plus les remarques de plus en plus incessantes de ma mère à chaque nouveaux tatouages. Mon dos en était rempli et je commençais alors les bras avec l’aide de mon petit-ami de l’époque, Alistair. C’est d’ailleurs chez lui que j’ai emménagé peu de temps après avoir quitté mes parents. Il avait vingt-deux ans et était propriétaire d’un salon de tatouages. Enfin, je me sentais libre. Libre d’être moi dans toute ma complexité et ma folie, dans toute ma créativité. Juste moi, Hope Harmony Osborne, la fille aux tatouages et aux goûts particuliers, bien loin de l’avenir prestigieux auquel me destinaient mes parents. Je n'étais pas faite pour les grandes études de médecine ou de droit, pas faite pour être une grande avocate ou une brillante chirurgienne. Moi, j'étais faite pour le dessin et l'art. C'était ma passion, mes envies et surtout, un besoin. Le tatouage, c'était, et encore aujourd'hui, ma drogue à moi. Certains se piquent, d'autres boivent ou jouent à des jeux d'argent, moi je laisse ma trace sur les corps. Des corps masculins, des corps féminins. Tous, sans préférence. Je m'adonnais aussi, quelques fois, à des séances photos, jouant alors au modèle. J'ai aimé cette période de ma vie, je les ai chéri pendant les quelques années qu'elles ont duré. Mais toute bonne chose à une fin et tout a fini par basculer quelques jours avant mon vingt-et-unième anniversaire. Alors que nous étions au salon avec Alistair, la police a débarqué. Je me souviens que j'étais entrain de tatouer une jeune femme de deux années plus jeune que moi. Son petit-ami lui offrait son premier tatouage : un subtile mélange entre une rose rouge et une un crâne, situé sur le poignet gauche. Alistair était également occupait sur un tatouage qui lui avait déjà demandé plusieurs séances de travail et lui donnait beaucoup de fil à retordre. C'est à cet instant qu'ils sont arrivés. Je ne sais pas de quelle brigade il s'agissait, ni pourquoi ils étaient là mais je les ai regardé emmener Alistair alors que je tentais de les dissuader en leur répétant qu'il s'agissait d'une erreur. Quelques heures plus tard, j'apprenais que mon petit-ami faisait parti d'un gros réseau de trafiquants de bien culturels. Fin du rêve, bonjour réalité.  

~ If I sing along a little fucking louder to a happy song, I'll be alright.

La période post-Alistair a été une période plutôt compliqué à gérer. Alistair a pris des années de prison et moi, je me suis retrouvée à la tête d'un salon de tatouage sans avoir les compétences requises. Bien sûr, nous avons rompu. Pas parce que nous nous aimions plus, non, seulement Alistair estimait que je n'avais pas à pâtir de sa condition. Alors, je me suis accrochée, j'ai foncé et finalement, j'ai réussi. Et au risque de paraître égocentrique, je suis plutôt fière de moi. Je me suis perfectionnée dans mon art, trouvant alors mon propre style. J'ai formé de jeunes tatoueurs et les ai aidé à se lancer dans ce monde parfois sans pitié comme Alistair l'avait fait pour moi quelques temps auparavant. Cependant, arrivé à vingt-quatre ans, j'ai eu besoin de plus. De nouvelles choses. De m'ouvrir à de nouvelles perspectives et découvrir, échanger. J'ai alors quitté Sheffield pour voyager. Mon envie d'évasion et de découverte m'a amené en Inde et en Thaïlande, en France aussi. J'ai voyagé un peu partout et fait de nombreuses rencontres qui m'ont marqué et transformé à jamais faisant alors de moi la jeune femme que je suis aujourd'hui. J'ai découverts, appris aussi, beaucoup, avant de finalement revenir chez moi pour m'assurer que j'avais laissé mon salon entre de bonnes mains.

~ And now there is no way back

Je suis restée à Sheffield  pendant deux ans, retravaillant alors au salon, enchaînant tatouages sur tatouages. Mais ça ne m'allait plus, enfin, plus vraiment. Pas que je n'étais pas heureuse. Je l'étais. Mais on ne peut pas faire machine arrière. Une fois qu'on a goûté à l'aventure et à la découverte, il est dur de revenir à la routine qu'instaure le quotidien. Rapidement, j'ai compris que je devais repartir sans tarder. Alors c'est ce que j'ai fais. M'assurant une fois encore que je laissais mon établissement entre des mains professionnelles et compétentes, je suis repartie. Je me suis arrêtée quelques temps en Australie, puis en Nouvelle-Zélande avant de partir bien plus loin. L'Islande. Quelque part, ce pays m'a toujours fasciné alors je m'y suis rendue, découvrant cette culture et ces paysages avec autant plaisir qu'un gamin le matin de noël. C'est là que j'ai croisé ce qui est désormais devenu ma nouvelle maison, peut-être pour quelques mois, peut-être pour quelques années :  Le Noah's Ark Circus.

● derrière l'écran ●

Salut ! Moi c'est l'inconnue. J'ai quelque chose comme 20 ans, je suis une femme, paraît-il et je suis actuellement en stand-by pour ce qui est des études, mais je devrais m'y remettre. Je viens de ce petit quelque part que l'on appelle le Bassin d'Arcachon, et j'ai trouvé votre forum grâce à votre palfrenier et je le trouve original. Sinon je fais du RPG sur forum depuis trois années et j'ai une fréquence de connexion de mystère et boule de gum. Concernant mon personnage, c'est un INVENTÉ et j'ai choisi Hannah Snowdon comme avatar.


Dernière édition par Hope H. Osborne le Mar 12 Sep - 17:56, édité 3 fois
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Publié : Dim 10 Sep - 11:39

Bienvenue officiellement ma belle ! luv (même si le fofo n'est pas encore ouvert éclat de rire )
J'te réquisitionne déjà pour un lien quoi que t'en pense What a Face
Et du coup, bonne chance pour le reste de ta fiche brill Si t'as besoin, n'hésite surtout pas What a Face HEART
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Publié : Dim 10 Sep - 19:31

Owww, merci Belphégor ! luv C'est vrai que j'ai tendance à oublier qu'il n'est pas encore ouvert, mais je suis ça de très près (grâce à Popol ! huhu )

Owiii, un lien ! Je crois que je serais venue pleurer et te supplier jusqu'à que tu acceptes, quitte à être insupportable ! Pour Hope, t'es carrément un dieu là. Un cadeau tombé du ciel ! HEART

Et du coup, encore merci pour cette chance. Je vais en avoir encore un peu besoin. J'ai crisé pour remplir la fiche, je l'avoue.. C'est pas d'ma faute, je suis pas très douée ... Facepalm
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Publié : Lun 11 Sep - 13:08

éclat de rire Pas besoin de venir me supplier pour un lien t'sais, je ne suis pas un Dieu Idiot (Mais je prend le compliment quand même huhu )
Ne t'en fais pas pour ta fiche, le code à l'air d'avoir tenu le choc ! huhu éclat de rire
Je lirai ça plus en détail un peu plus tard, ne m'en veut pas, j'ai quelques autres tâches sur le feu avant ... Arrow
Ceci dit, ma boite à MP est ouverte si jamais hihi
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Publié : Lun 25 Sep - 23:29

Félicitations
Tu viens d'intégrer officiellement la belle famille d'HYSTC

Félicitations à toi ! yip
Nous t'annonçons avec grand plaisir que tu rejoins notre belle famille d'HYSTC ! Pour faire tes premiers pas et pour te permettre de prendre tes repères, voici une série de liens que tu peux visiter. Bienvenue chez toi gniibis

Ici, c'est ta partie ! Tu trouveras tout ce dont du as besoin pour la gestion de ton personnage. C'est que tu vas pouvoir créer une fiche où tu recenseras tes sujets, tes relations,... De plus, si tu veux enrichir ton personnage, tu peux créer des pré-liens et des scénarios.

Sinon, côté bottins, tu vas pouvoir recenser ta bouille et ton métier. Si tu fais partie du cirque et que tu es un artiste/novice/freak, il faut répertorier ton numéro. Et si tu es une étoile, n'oublie de consulter ce sujet pour voir si tu y apparait bien !

Pour terminer, je te conseille fortement de surveiller la partie des annonces et des nouvelles. Ainsi, tu seras prévenu dès que le staff y publiera quelque chose ! Et n'oublie pas que si tu as quelque chose à dire/à proposer/à protester/à commenter, tu peux t'exprimer dans ce sujet Razz

Sur ce, amuse-toi bien parmi nous ! pirate


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