Philip Brown

my heart is broke but i have some glue

Philip Brown

now, what do you own the world ? how do you own disorder ?

NOM ▽ brown.
PRÉNOMS ▽ philip.
SURNOM(S) ▽ phil.. si t'arrives à t'faire une petite place dans son cercle d'amis inexistant... sinon ne l'appelle pas comme ça, c'est tout.
ÂGE ▽ quarante-trois ans
LIEU DE NAISSANCE ▽ louisiane
ORIGINES ▽ on va dire que c'est un bon américain de souche le type.
ORIENTATION SEXUELLE ▽ hétérosexuel.
STATUT CIVIL ▽ meh. veuf.. célibataire.
MÉTIER ET/OU ÉTUDES ▽ électricien/technicien... son job a tellement d'appellations qu'il réduit ça en général à électricien. il s'occupe de l'installation des câblages électriques, du respect des normes de sécurité, tout ça.
GROUPE ▽ umbrella of funambule.

monsieur brown n'écoute que du vieux rock ▽ il ne se déplace que sur sa vieille harley ▽ il boit très souvent et plutôt beaucoup ▽ ~~c'est une bête au lit~~ ▽ il n'apprécie pas franchement les mioches ▽ il sera très très réticent face à vos avances mesdemoiselles ▽ il n'aime pas regarder le sport à la télé ▽ il préfère lire ▽ il n'a pas fait énormément d'études mais il ne refuse jamais d'accroître sa culture qui n'est pas désastreuse ▽ il aime le café très noir ▽ il fume énormément et pas que du tabac ▽ il aime beaucoup être à l'extérieur, principalement tard le soir ou tôt le matin ▽ il n'aime pas tellement la compagnie ▽ c'est un ours.. voilà ▽

Karma

Ecris-nous ton sale caractère et ta réputation au sein du cirque en une dizaine de lignes ▽ Philip -ou Phil si tu as le cran de l'appeler ainsi- est un homme dans sa quarantaine. Il est effectivement âgé de quarante-trois bonnes années. Introverti, solitaire, drôle de type... Autant de qualificatifs qui lui vont comme un gant. Il n'aime tout simplement pas la compagnie -ou les gens. Mais derrière sa carapace d'homme grognon et un peu rustre se cache en fait une réalité légèrement plus compliquée. Bien que dans sa folle jeunesse déjà, il n'était pas le gars qui se donnait en spectacle en soirée mais plutôt celui qui squattait la terasse, le type a perdu sa femme et sa fille dans un accident de voiture il y a quelques mois. Évènement plutôt marquant dans la vie d'un homme. Et là, n'importe quel psy moyen pourrait conclure que l'émancipation de sa famille sur Terre l'a poussé à se renfermer sur lui-même et à s'offrir le luxe de ne pas souffrir de nouveau en évitant de se lier avec les autres... Philip ne parle jamais de lui, il déteste que les autres lui parlent de leurs vies minables, il n'aime pas parler de la pluie et du beau temps, il n'aime pas se sentir faible, il n'aime pas qu'on se confie à lui, il n'aime pas les femmes... Ah si, ça il aime bien. Il aimait bien. Il a énormément de mal à regarder une femme sans penser à Mary, sa défunte épouse. Phil, c'est pas un type qu'on peut qualifier de mauvais. C'est même un type plutôt bien. Il n'a jamais eu d'adultère du temps où Mary pouvait encore partager son lit. Il prenait plaisir à conduire sa gamine à l'école ou l'emmener au théâtre voir sa maman jouer. Il aimait profondément sa famille. Et lorsqu'elle lui a été enlevée, il a perdu ses petites joies-là et sa vie est tout simplement devenue fade. Lui reste seulement sa Harley. Sa bonne vieille Harley qu'il trimbale un peu partout. Des mois d'économies pour pouvoir enfin l'avoir. Sacrifice énorme de la part de Mary. Sa moto c'est sans doute le souvenir le plus concrêt qu'il lui reste de sa femme. Après le drame, il a vendu la petite maison de banlieue très moyenne où il avait passé dix ans de sa vie et ça, contre quelques billets. Pas de grands remords en fait. Depuis le drame, le type a perdu tout sens de l'empathie. Il a même replongé dans la drogue et l'alcool, les deux vices qu'il avait abandonné quand il avait rencontré Mary. Depuis l'accident, il boit tous les soirs et fume beaucoup trop, et trop souvent. Il a l'impression d'être revenu dans le passé, du temps où il n'avait rien -n'était rien-, qu'il se fichait de tout et baisait la vie. Sa réputation au cirque ? Il est nouveau, c'est tout.

Show

Décris-nous ton show et ton boulot au cirque en une dizaine de lignes. Pour les personnages n'étant pas du cirque, dérivez-nous vos impressions par rapport à celui-ci, ce que vous venez y faire. ▽ Philip est électricien ou technicien, appelez-le comme vous voulez. Son boulot est de veiller au fonctionnement des installations électriques du cirque, du respect des normes de sécurité, du bon déroulement des jeux de lumières lors des représentations. En fait, il a surtout de l'expérience dans les lumières puisqu'il était régisseur auparavant. Il s'occupait uniquement de gérer l'éclairage. Mais en ayant intégré le cirque, il a accepté aussi de gérer l'électricité, parce que ça aussi il connait. Donc, si jamais un jour tout pète, que les freaks se retrouvent dans le noir, vous savez sur qui taper. Philip est qualifié : il a quelques années d'études derrière lui qui lui assurent généralement une place. Il ne peut pas dire qu'il n'aime pas son boulot, il l'apprécie plutôt même... Un job qui ne requiert que très peu de communication. Philip ne déteste pas le cirque mais il ne l'adore pas non plus. C'est juste l'échappatoire qu'il lui fallait et qui a montré le bout de son nez au bon moment. Il s'y sent bien, tout simplement.

Bonjour ! Moi c'est patate, sur la toile on me connait sous le pseudo de meh, on m'connait pas. J'ai **7 (oui un nombre à trois chiffres ET ALORS?) ans et je vis dans un taudis presque charmant. J'ai trouvé le forum via le top-site de bazzart je crois et je le trouve super accueillant, l'ambiance a l'air tout bonnement top et le concept en lui-même est très attrayant ! Pour finir je dirai : napnap ? allez private joke avec les sdf de la cb.

Pour le bottin :

Code:: [color=#A30300][b]NORMAN REEDUS[/b][/color] - Philip Brown

©NyoTheNeko de Never Utopia

even at my ugliest, you always say i'm beautiful

Histoire

our trip has just begun psychotic voice

« Sois prudente mon amour. J'en ai encore pour quelques minutes, rentre avec Constance. » Les mots s'envolent dans le grand hall illuminé par l'imposant lustre qui trône fièrement, suspendu au haut-plafond.
« Ne tarde pas trop... J'ai une surprise pour toi à la maison. »
Un sourire provocateur illumine son visage. Il sait à quoi elle pense. Et comment il le sait. Son couple connait une vie plutôt fleurissante sur le plan sexuel. Mary, cette comédienne de trente-neuf ans, de quatre ans sa cadette, est sans nul doute la plus imprévisible des épouses quand il s'agit de sexe. Il ne compte plus le nombre de fois où elle s'est présentée à lui avec dans son sac une panoplie d'accessoires, allant des simples menottes au gadget le plus étrangement sophistiqué qu'il soit. Elle aime le sexe. Et franchement, ce n'est pas pour déplaire à Philip. Ce régisseur de quarante-trois ans, les cheveux quelque peu négligés et la barbe de trois jours qui fait à chaque fois grimacer sa gosse quand elle l'embrasse. Lui qui arrive tous les jours, sans exception, au boulot sur une vieille Harley mène une vie plutôt calme. Philip a une magnifique épouse, une magnifique petite fille de sept ans, il a une vie tranquille. Et il aime sa vie tranquille.

Il embrasse tendrement sa femme. J'ai hâte, chuchote-t-il délicatement dans l'oreille de la jolie brune. Le parfum sucrée du shampooing qui émane de la couronne noiraude, probablement celui à la mangue qui semble avoir pris racine sur le bord de la baignoire depuis quelques temps, lui parvient aux narines et il ne s'empêche pas de respirer à plein poumon la douce odeur. Puis, elle s'éloigne avec leur fille à la main dont le corps semble soudain lourd pour ses petites jambes. Il est vingt-deux heures trois quand Philip les voit disparaître à travers la grande porte boisée. Les deux silhouettes deviennent flous, puis imperceptibles, lapées par la nuit dehors. Sans le savoir, c'est la dernière fois qu'il voit sa femme et sa fille en vie. Les derniers mots échangés avec Mary sont "J'ai hâte."

Il veille à éteindre toutes les lumières derrière lui. Philip est le dernier dans le théâtre, comme à son habitude. Il apprécie cet endroit, il l'aime en fait. Tout ici le ramène dix ans plus tôt, quand il n'était qu'un petit régisseur minable de trente-trois ans. Il l'est toujours, ce petit régisseur minable, mais il est maintenant un petit régisseur minable marié et père.

Dix ans plus tôt, il était aussi sur scène mais à sa manière. Placé au-dessus des spectateurs, dans le petit local de la régie, il veillait à l'éclairage. Ce soir-là, c'était la représentation théâtrale de la plus célèbre des pièces du grand Shakespeare, Roméo et Juliette. Installé derrière tout son matériel plus ou moins complexe, il avait les yeux rivés sur scène où les premiers jeux de lumière étaient presque aussi importants que l'entrée des acteurs principaux. Lorsqu'il entendit sa voix, cette voix si audible, si forte, si prenante, il ne put s'empêcher de la chercher. Et quand enfin, elle apparut, il sentit une douce chaleur se répandre en lui.

Il finit par passer à son tour la grande porte. Il se câle contre le mur de briques et sort un paquet de cigarettes à moitié vide de la poche de son cuir. Il la pince entre ses lèvres et sort à son tour le briquet. Il se penche en avant et l'allume.

C'est quand elle sera entièrement consumée et qu'il jettera le mégot que son téléphone sonnera. Ce ne sera pas Mary qui s'impatiente seule dans le lit conjugual avec une multitude de nouveaux accessoires coquins, ce ne sera pas le beau-frère soul qui demande à être ramené chez lui, non... Ce sera la police.

Et le téléphone sonne.

Quand enfin il raccroche, le monde autour de lui semble soudain très distordu. Une crampe terrible le surprend. Il sent qu'il manque d'air. Il est déjà à l'extérieur. Son sang lui paraît être en ébullition sous sa peau fraîche. Il a mal. Il tousse, il tousse de nouveau et bientôt il s'écroule parterre. A-t-il réellement entendu ce qu'il imagine ? Il pleure. Les larmes sont froides et ont un goût d'amertume. Recroquevillé sur lui même, il ne cherche même plus à trouver un sens à ce qu'il vient d'entendre. Tout est devenu si insensé de toutes manières, aussi bien la cigarette qui n'est toujours pas éteinte en face de lui gisant sur le goudron froid que la voix rauque du type qui vient de lui apprendre l'accident de sa femme. Les mots claquent encore dans ses tympans. Ils sont violents, brusques, crus. Il finit par se relever, le sol ondule sous ses pieds, le ciel tombe à mesure qu'il sprinte jusqu'à sa moto. Il monte dessus et fait crier le moteur, il n'attend pas une seconde de plus.

Les lumières sont aveuglantes. Les sirènes sont assourdissantes. Il restait en lui cet espoir un peu stupide de l'erreur tant qu'il n'avait pas vu, lui-même, ce qu'il en était réellement. Mais là, le doute n'est plus permis, il s'extirpe très douloureusement de son corps tremblotant. Tel un organe qu'on lui a retiré sous sa pleine conscience, il titube sous la douleur. Un homme le retient mais il est déjà bien loin, le Philip. Ses yeux peinent à regarder le corps de sa femme se tapir dans ce sac poubelle noir dont trois hommes la recouvrent. « Vous ne devriez pas regarder, Monsieur Brown. » Et voilà que Constance apparaît à son tour, le visage ensanglanté. Cette atroce vision disparaît bien vite quand à son tour, sa fille se retrouve recouverte de l'immonde sac noir. « Bordel, Constance ! » Les mots lui échappent, sa bouche est ouverte sous le coup vache de l'affliction qu'il ressent là maintenant, devant le macabre spectacle. Non, ce soir-là, il n'était pas à la régie. Il ne s'occupait pas d'éclairer subjectivement la mort de sa famille. « Ma fille putain ! » Il se débat lamentablement quand deux hommes en uniforme le retiennent. « Ce sont ma femme et ma fille dans ces sacs, bande de connards ! » La lutte s'achève bien vite quand il se rend compte qu'il est impuissant, presque paralysé après ce qu'il vient de voir, de vivre. Ses jambes sont incapables de le soutenir davantage. Il rencontre de nouveau le sol et il hurle sa peine trop grande, la douleur écrasante qu'il ressent dans tout son corps.

Trois mois après le drame, il vend enfin la maison. Le petit pavillon de banlieue qu'il n'arrive plus à supporter part pour une mince somme. Il ne cherche pas à s'enrichir et acheter une autre baraque plus loin. Il veut juste s'en aller, Philip. Le mois dernier, il avait quitté son boulot au théâtre.
Avec sur lui, seulement un sac de fringues et un dessin de sa famille fait par Constance à l'école l'an dernier, il enfourche sa bécane et roule. Il ne se retourne pas derrière lui, il ne dit même pas au revoir à la bâtisse qui a vu tant de choses depuis neuf ans, il se contente de rouler encore et encore.
Quand enfin le soleil se couche, il arrive dans un petit hôtel presque accueillant. Il est un peu crasseux mais franchement, Philip n'y accorde aucune importance. Les quelques dizaines de milliers d'euros qu'il a sur lui auraient pu lui permettre de dormir dans un cinq étoiles au moins. Le type n'a jamais vraiment été de ce genre. Élevé dans un univers plutôt pauvre, avec une bonne fournée de quatre frères et sœurs, autant dire qu'il n'a jamais baigné dans l'or et l'argent. Et il n'a, en grandissant, jamais éprouvé le besoin d'en avoir des tonnes.
Le lendemain, alors qu'il marche dans la rue, un joint entre les lèvres -finir en prison lui importe vraiment que peu sur le moment-, il tombe sur une affiche qui l'interpelle. "Le Noah Ark Circus". Ce fichu cirque que tout le monde connait ici. Il prend une bonne taffe, il se sent déjà admirablement bien, et il arrache l'affiche. Ses vieilles habitudes rustres qu'il avait perdu ces dix dernières années ont resurgis, comme l'alcool et la drogue. Il a l'impression d'avoir de nouveau vingt ans, de se bourrer la gueule tous les soirs, se défoncer dès le petit matin, s'en foutre de la vie quoi. Exception faite qu'il n'a pas baisé depuis longtemps. Il compte bien y faire un tour au cirque. Quand il était marié, lui et sa femme n'avaient jamais emmené leur gosse là-bas. Mary détestait les cirques. Elle n'y trouvait rien de franchement artistique dedans. Puis Philip, en bon samaritain -mari-, était d'accord. Mais maintenant qu'il était seul, qui l'en empêchait ?

don't you ever get stuck in the sky when you're high?

©NyoTheNeko de Never Utopia

Ce choix d'avatar, gah. brill

Bienvenue à toi !

NAPNAP NAPNAP NAPNAP fangirl

:strip:

Bienvenue officiellement Mr Lumières, si tu as des questions tu cries, puis LES LIMACES BAVEUSES DOMINERONT LE MONDE !! huhu

Bienvenue Phil!

Napnap pour ta fiche.

Napnap Phil ! mdr

Bon courage pour ta fiche, Monsieur le fana de limaces perv

MEMBRE : 05/07/2015

Bienvenue Phil ! yip

Alors toi et moi on va souvent se voir si tu vis la nuit, que tu bois, que tu fume,... sourcil

Réserve-moi un lien dans ton cercle d'amis inexistants smile

Sinon, bonne chance pour le reste de ta fiche ! mdr

Bienvenue

J'adhère au choix du métier ! Bon courage pour la suite hihi

Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche wii

!

J'ai hâte de voir ton perso en RP, ça a l'air prometteur Wink

Bienvenue au cirque et bonne chance pour le reste de ta fiche plup

merci pour tous vos adorables messages :minihert:

MEMBRE : 05/07/2015

:slurp:

Personnage tout de même attachant ~~enfin attachant pas comme attacher à un lit espèce de coquin~~ sourcil

Bref, je t'envoie la limace de la mort pour te valider hihi

Félicitations

Nous te souhaitons la bienvenue sur HYSTC

Félicitations, nous t'annonçons avec grand plaisir que tu rejoins la communauté HYSTC Pour faire des premiers pas parmi nous, voici quelques adresses qui te permettront de faciliter ton intégration et les premiers temps sur le forum. Tu peux dès à présent découvrir la partie réservée à ton personnage, là-bas tu pourras faire une demande de travail et créer ton répertoire de liens. N'hésite pas à créer tes scénarios par ici et si tu souhaites te faire parrainer c'est par là. N'hésite pas à laisser un petit mot doux par là ou ici.

Nous te remercions de ton inscription et nous espérons que tu vivras une grand aventure en notre compagnie

Amuse toi bien et si tu as des questions n'hésite à envoyer un message à l'un des membres du staff

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